Merci à Sophie Lajeunesse des Presses de la Cité qui m’a fait signer mon premier contrat d’auteur.
Merci à Clarisse Enaudeau, la directrice de la collection Terres de France, qui m’a cornaquée depuis mon arrivée dans cette maison d’édition et qui est, au fil du temps, devenue une amie.
Merci à mes correcteurs-relecteurs, Jean-François Merle et Sylvie Taussig qui m’ont tant appris, dans l’exigence et la bienveillance. (Je conseille au passage les deux formidables romans de Jean-François, « Cale sèche » et « le grand écrivain », des bijoux d’intelligence et d’originalité).
Merci aux éditions France Loisirs, qui me font confiance depuis le début. Je suis très honorée d’avoir vu mes livres publiés chez eux et vivre une belle vie auprès des lecteurs, avant de sortir en librairie « traditionnelle ».
Merci aux libraires qui ont aimé et conseillé mon livre, m’ont invité en séances de signature et me soutiennent fidèlement. J’offre une dédicace spéciale à Bruno Falba, le meilleur libraire spécialisé BD de Toulon, qui pose régulièrement une pile de mon dernier-paru sur le comptoir de sa boutique, me permettant ainsi de toucher de nouveaux lecteurs.
Merci évidemment à ceux sans qui les écrivains ne sont rien : les lecteurs, parfois critiques, souvent enthousiastes ; ça me surprend toujours qu’on m’interpelle en me disant « j’ai lu votre roman », et ça m’émerveille toujours autant. Ma seule ambition est de pouvoir continuer longtemps à vous raconter de belles histoires !
Et évidemment, merci à mes premiers soutiens : ma famille, mes enfants ; à mes fils qui m’ont affirmé un jour que mon « vrai métier, c’est être écrivaine » ; à ma mère qui relit cent fois et sans faillir tous mes manuscrits, traquant impitoyablement la moindre lourdeur et la plus petite maladresse ; à mon frangin qui répond toujours à mes questions si bizarres soient-elles (« quelle plante fleurit en mars avec des fleurs bleues en Corse ? » par exemple) ; à mon mari, il sait pourquoi.
Si j’en oublie, pardonnez-moi. Vous êtes bien là, avec moi, à chaque fois que je m’installe devant mon ordinateur et que j’ouvre une nouvelle page blanche.